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            Vous constaterez que j’ai supprimé le blog intitulé « L’œil du Déclic. »

     

           La simple raison est très simple. Elle doit laisser place à ce qui suit. Un blog plus travaillé, plus fournit. Mais aussi tout aussi gourmand de photos, et de mots.

     

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    « L’INSTANT NET OU L’Œil DU HASARD. » Est pour moi une nouvelle manière d’aborder la photo, mais aussi l’écriture d’un blog. C’est donc une nouvelle aventure, une autre façon de m’élargir et d’échanger avec les autres bloggeurs de la toile. C’est aussi un peu, comme un journal de bord de mon quotidien au jour le jour de mes escapades ci et là.

     

     

    Raconter mes journées, mes observations, des anecdotes, mais surtout raconter mes excursions à travers la photo et les mots.

     

    Aussi ; parce que Rien de ce que nous côtoyons ne reste jamais en place. Ni le temps ni les couleurs, les saisons.

     Le monde, les choses, les gens. Tout est en perpétuel mouvement tout change à une vitesse inaltérable. La vie est ainsi faite.

    C’est en cela que j’aime la photographie ; car par son moyen. Nous pouvons immortaliser un chaque instant qui passe sous nos yeux ; et qui  en un clin d’œil va se métamorphoser ou en encore disparaître.

    Par le biais de la photo, le soudain s’inscrit, se fige. Il s’écrit dans notre mémoire. Et lorsque de pouvoir le regarder de nouveau dans l’album photo se peut. On se dit que toutes ces choses que nos yeux ont embrassées ; ne sont pas juste un hasard. Mais la beauté, l’humanité même de ce qui nous entoure et qui gît en chacun de nous.

     

     

    Je ne me sens pas de dire que j’ai appris la photo sur le tas, mais pourtant c’est bien sur le tard que je suis partit à sa rencontre. J’ai approché les quelques premières bases en fréquentant des photographes dans la capitale Parisienne.

     

    Lorsque j’ai débuté, j’axais mon objectif essentiellement sur le portrait. Frayant particulièrement dans les mêmes lieux, j’ai souvent eu la chance de pouvoir revoir la majorité des personnes que je photographiais ; pour ensuite leur rendre le cliché que j’avais pris. C’était là une manière de me dire que je devais leur rendre l’instant que je leur avais volé.

     

    Aujourd’hui mon regard s’est élargit, et je vois au-delà du portrait. En témoigne ce blog.

     

     

    © Ludwig Marie-Louis